lundi 12 janvier 2015

26 nov-1er décembre Bolivie: Santa Cruz de la Sierra y Samaïpata

Bolivie: Santa Cruz de la Sierra y Samaïpata, 26 nov-1er déc.14



Passage obligé pour reprendre l'avion, puisque nous avions planifié d'y passer, histoire de voir aussi les terres basses de ce magnifique pays, nous restons un peu nostalgiques de Sucre…





ça ne s'invente pas: bus bondé, alors on prend le plus jeune sur les genoux du passager de devant




notre hébergement pour ces quelques jours, le Loro Loco, tenu par un ...breton

Escapade au parc Güembe pour remotiver notre petite troupe après une arrivée un peu mouvementée.










Doux mélange entre musée d'histoire de l'évolution, parc naturel et parc aquatique: nous passons une véritable journée de détente: ce qui fait du bien de temps en temps.


L'ADN expliqué au grand public 
et matérialisé par des piles de livres imbriqués les uns dans les autres.





    Il est partout Darwin, des Galapagos à la Bolivie, Luna se sent poursuivie….par le héros de son dossier scolaire.





Déambulation dans le parc et mini aperçu de la faune et de la flore tropicales, déjà aperçues entre la Colombie et l'Equateur, mais condensées ici.




Si, si ! les couleurs sont réelles sans trucage ni modification: même nous on avait de la peine à y croire à moins de 1m de notre toucan! "Et il n'est pas en plastique " comme le font remarquer Aloys et Khalil.



Descente depuis un mirador d'une vingtaine de mètres nous permettant d'admirer la canopé.




Petite halte dans le papillorama: ici pas besoin de chauffer l'espace, climat tropical oblige.



A la recherche des papillons!



Espace détente, transition entre la cordillière et la costa.






un primate aperçu sur l'île aux singes et identifié scientifiquement!!!

Un doux rêve qui se réalise: voler!
et bûtiner de fleur en fleur?


l'entrée d'une gated community comme nous en verrons beaucoup aux alentours de Santa Cruz.


de la pub pour un condomium plus mieux bien que les autres....

camouflage pour antenne GSM!

en route pour les montagnes: il y fera plus frais!


un pont comme sur le Rhône


Avertissement loquace pour les véhicules utilisant cette voie reliant Santa Cruz et Cochabamba.


la dernière campagne présidentielle nettement plus disputée que dans le reste du pays.

Samaïpata:

On s'évade de Santa Cruz pour en découvrir les alentours, et profitons encore une dernière fois d'un emblème souvent évoqué lors de notre périple: le condor.
Samaïpata, une petite ville très chaleureuse et paisible comme on les aime, d'où partent de multiples sentiers pédestres.




Selon les enfants on se croirait à Vilcabamba...


d'autres partis politiques aparaissent: ici le communiste


On apprécie particulièrement les murs colorés et peints à la main ainsi que l'orientation culinaire peu gringo!
Tout ce qu'il faut pour ne pas faire d'agroécologie et remplir les caisses des pharmas...



notre logement pour ces quelques jours: hostal andorina: havre de paix artistiquement décoré

Escapade d'une journée pour aller voir les condors "de près".





orchidées







cent ou mille pattes tout terrain et mesurant dans les 10 cm.


Boldo: l'arbre aux vertus médicinales






Le repaire des seigneurs des airs.

3h les yeux rivés au ciel: 



mais ils sont là!







dernières images prises avec notre nouvel appareil... la cellule rend l'âme quelque peu après.


Pour finir la journée et sa chaleur torride: détour par une cascade rafraichissante.











viscacha


Don Loro habitant les falaises entourant la cascade.

le condor à tête rouge, ici il s'appelle sucha


culture sur brûlis... à quelques lieues des parcs nationaux (Amboro entre autres)


un programme d'élevage techniquement très développé


les câbles électriques comme support aux épiphytes...




des arguments bolivariens contre la révolution bolivarienne...?


Santa Cruz vue depuis l'hotel d'où nous partirons pour l'aéroport.


une image du bonheur des filles lorsqu'elles peuvent skyper avec leur famille restée au pays.

la réincarnation "moralienne" du héros inca.


En vol vers le Panama, les enfants ont les yeux rivés aux fenêtres et pensent voir l'Amazonie dès qu'un fleuve mature se dessine à l'horizon.




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